L'instituteur indigène : " Mohand Saïd Lechani."
Hier au douar siège natal : " EL-MAÏN."
JOYEUX NOËL 2011 !

Ahmed Salah Amarouche JOYEUX NOËL 2011 AUX AMI(E)S DE CONFESSION CHRETIENNE ! Site Web pour cette image Profitez des décorations de Noël de la ville lors des nocturnes du marché . bbgilles.webnode.fr Je n’aime plus · · Partager · Il y a 16 minutes ·
JOYEUX NOËL 2011 !

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TOULOUSE carte postale de : " J'aime le français."

jeudi 27 décembre 2012, a 15:32 TOULOUSE carte postale de : " J'aime le français." Ahmed Salah Amarouche a partagé la photo de J'aime le français. Il y a 32 minutes Merci beaucoup "J'aime le français" pour le partage de cette belle carte postale de la ville de Toulouse que je n'avais jamais un[...]
KABYLIe - Algérie : " Une terre d'Afrique du Nord."

dimanche 30 décembre 2012, a 15:10 Algérie (Kabylie) : " Terre d'Afrique du Nord." Amirou Amarouche a partagé une photo de Plaisir des yeux. Bon appétit !! Ahmed Salah Amarouche a partagé une photo de Plaisir des yeux. Je n'aime plus · · 1 · Il y a 3 minutes · Options Amirou Amarouche a partagé[...]
BONNE ANNEE 2013 : " Souhaits, Voeux & Espoirs."

Ahmed Salah Amarouche il y a environ une heure A l'ensemble de nos ami(e)s de toutes les confessions et à l'ensemble de l'humanité à travers le monde de notre part les gens du Douar El-Maïn qui souscrivent à notre démarche, recevez nos sincères souhaits de longue vie pleine de joie et de[...]
Censure & ouverture : " Vie publiique & vie privée."
Affichage publicitaire : Histoire-Géographie.
Issaâd - GUENZET fête : " La journée mondiale de l'enfance."

Ahmed Amarouche il y a 12 heures Bonjour de B.B.A à Issaad Guenzet que nous remercions du fond de nos coeurs pour ces précieux partages de trézs trés belles images qui mérite quand même un petit et humble geste de notre part dans ce même cadre de la célébration de la journée internationale de[...]
EL - MAÏN 1960 : " Témoignagede Mr J.P DEWASME."
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vendredi 21 septembre 2012, a 09:18 |
El-Maïn 1960 : " Témoignage de Mr Jean-Pierre Dewasme." |
Mardi 18 septembre 2012
http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/experience-humanitaire-en-kabylie-ia4576b0n695141 On ne le sait pas toujours mais certains soldats ont aussi été affectés à des tâches humanitaires en Algérie pendant la guerre. Jean-Pierre Dewasmes témoigne de ce qu'il a vécu, en 1960, au contact de la population dans les bleds de Kabylie.
Jean-Pierre Dewasmes prend la pose avec quelques gosses, un dimanche matin, lors d'une petite promenade. La photo a été prise par son adjoint le moniteur kabyle Belaïd Salat. En juillet 1960, comme tant d'autres, je fus appelé sous les drapeaux. A la demande de mon commandant de compagnie (j'avais été incorporé dans le 2ème groupe de chasseurs portés, je fus volontaire pour rejoindre le CEMJA, Centre d'entraînement des moniteurs de la jeunesse algérienne). Le CEMJA avait été voulu par le général Dunoyer de Segonzac, au quartier Bange, à Issoire dans le Puy-de-Dôme. Après un stage de six mois, où je sortais sergent moniteur, j'intégrais l'Algérie le 31 décembre 1960. A l'issue de ce stage, j'avais choisi d'aller en Kabylie. Ce stage consistait à instruire dans les bleds la population, la rassurer, d'aider les jeunes à les faire aller à l'école, venir aux sports, leur apprendre des chants, de les aider dans leurs démarches, d'aller à l'assistance médicale gratuite, et de leur apprendre bien d'autres choses. J'atterris début janvier 1961 au lieu choisi. Je ne savais pas que c'était un village perché en haut d'un piton, El Main. Je logeais à la SAS (Section administrative spécialisée), située dans ce gros village, où des personnes de trois autres villages avaient été, si on veut, déportées par l'armée française pour faciliter leur secteur. Je dépendais de l'escadron du 4e dragon, situé à deux kilomètres, qui devait nous nourrir et nous avait en compte. J'étais avec un moniteur kabyle et un sous-lieutenant, des nouveaux. Ce qui me frappa, ce fut l'état misérable des habitants, beaucoup allaient pieds nus, femmes et enfants, été comme hiver. On n'avait vraiment jamais rien fait pour eux. Il y avait trois instituteurs civils, qui logeaient à la harka 403, toute proche (la directrice ayant son frère sergent à cette harka). Au début, ma tâche ne fut pas facile. J'organisais mes listes d'élèves, et m'arrangeais avec les instits pour le sport. Au bout d'un mois, nous avions plus de deux cents gosses. Ils pratiquaient tous les sports courants, foot, volley. En plus, ils faisaient de l'athlétisme, avec une méthode apprise à Issoire, le travail en plateau. Ils étaient forts en cross. Je leur apprenais des chants et en même temps la propreté : se laver les mains avant de manger (bien qu'il n'y avait que deux puits d'eau situés à deux kilomètres pour toutes les personnes), d'aller à l'AMG, s'ils se sentaient malades et de dire à leurs mères surtout d'y aller, car beaucoup étaient malades, mais c'était encore tabou, pourtant, il y avait une infirmière kabyle. Petit à petit, je fus très estimé. Et le jour du cessez-le-feu, ou la veille à vingt-deux heures, en compagnie du lieutenant et du moniteur kabyle, avons été dans les trois autres villages que nous gérions également placarder les grandes portes en punaisant des grandes affiches, représentant un petit pied-noir et une petite fille algérienne, avec en-dessous « Vive la paix en Algérie ». Le matin, à sept heures, les gosses vinrent nous réveiller à la SAS, heureux et criant leur joie, ainsi que plus tard les habitants, venus même avec des drapeaux FLN. Alors, le maire les réunit sur la place avec le commandant de l'escadron, et des militaires, leur disant que le cessez-le-feu n'était pas l'indépendance. Alors, ils repartirent chez eux, contents quand même. C'est là qu'on voit que la population était prise entre deux feux, d'un côté l'armée, de l'autre le FLN. Nous avons eu des gosses, longtemps après encore, au sport (les instits ayant terminé). Ils venaient surtout pour manger. Chaque jour, sauf le dimanche, ils allaient à la cantine de la SAS, prévue pour eux, boire un grand bol de lait et manger deux tartines de confiture, et ceci à dix heures et l'après-midi à seize heures. Beaucoup ne devaient pas manger tous les jours. Je recevais des colis de France, des vêtements surtout, que je leur distribuais. Nous étions militaires, mais nous faisions la pacification et à côté l'escadron, la guerre. D'ailleurs, un général a dit : « Seuls les officiers de SAS et les moniteurs comprenaient la population, leurs soucis, leurs coutumes, mais ils n'ont jamais été compris par les militaires. A l'indépendance, quelque temps avant, on nous avertit, le moniteur kabyle et moi, d'être prêts à partir pour l'escadron, notre mission étant terminée. A onze heures, on vint nous chercher et à deux heures, l'on partait en convoi à Sétif. A la sortie du poste, avant de prendre la piste, le convoi s'arrêta, et assis derrière le JMC toilé, on se demanda ce qu'il y avait. A ma grande surprise, une cinquantaine de gosses nous attendaient, pour nous souhaiter bonne chance. A ma grande surprise, ils entamèrent « Ce n'est qu'un au revoir cherra (monsieur) ». J'en eut les larmes aux yeux. J'avais accompli ma tâche humanitaire. J.P. Dewasmes à Condé-s/l'Escaut La Voix Du Nord Ecrire un commentaire - Voir le commentaire
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Récit historique sur le siège : "EL- MAÏN (Bibans)"
Récit historique & géographique sur les villages El-Main
Siège de douar au moins depuis la création de l'état-civil
Commune mixte des Bibans - Siège Bordj Medjana jusqu'en 1957
Arrondissement de Sétif - Département de Constantine
Hissé commune en plein exercice en 1957 avec rajout des réfugiés de cinq villages Taourmith, Boufenzar - Aourir - Takrombalt du douar Djaâfra voisin du Sud après détachement de Bordj Medjana du fait des événements et rattachement à l'arrondissement de Lafayette département de Sétif jusqu'en 1962 institution locale héritée à l'indépendance de l'Algérie jusqu'au milieu de l'année 1963 pour se regrouper avec Gunzet et Tittest sans consultation de la population la première concernée.
Détachement de Guenzet et de l'arrondissement de Lafayette le 02 Janvier 1964 pour se rattacher avec Merdj Medjana redevenue El-Khadra.
Création du syndicat intercommunal des Bibans à la place de la commune mixte pour la gesgtion des anciens registres de l'état-civil d'avant la fin de l'année 1955.
vendredi 18 mai 2007, par BENKHARFALLAH
Après plusieurs hésitations, je me décide à apporter ma modeste contribution quant à l’histoire de la création du village d’El-Main, ses premiers habitants, les familles qui composent ce hammeau, l’origine des benkharfallah etc...
El-Main, terre foulée par l’homme entre le XI ième et le XII ième siècle de notre ère. Parait-il le premier humain à avoir érigé domicile s’appelait ILMANE ou AYALEMAYENI venu des environs du Hodna algérien (de Tamsilt en arabe M’sila). Sa descendance se compose de quatre garçons et de deux filles à savoir Hellal, Mesbah, Siline, Anane, Faroudja et Zineb. Cette contrée, perchée sur l’un des cîmes les plus hautes de la chaîne des BABORS était parsemée de forêts denses, habitée par des êtres surnaturels (Ôgres et Ôgresses-A VERIFIER) et des animaux sauvages tels que lions, hyènes, lynx, disparus depuis lors. NB/ Le dernier lion a été abattu le 25/03/1932 par Bachir Ouhalla à Beni- Halla tout près de l’oued Bousellam et ce d’après les récits des personnes suivantes : Zegaggh Tahar, Khimcha Mohand, Benkharfallah Belkacem et Amaouche Cherif (tous décédées malheureusement, paix à leurs âmes) Je tiens à répondre aux messages suivants : Message émanant de Kahina du 24/03/2005 // // // // // Faroudja du 16/06/2006 // // // // // Taouchichet Brahim du 12/03/2006 d’Alger (en sus je vous fais savoir que je connais un autre Brahim Taouchichet,fils de Cherif Ben Said et qui réside à El-Main actuellement- âgé d’une quarantaine d’années) Message émanant de Sonia du 11/03/2006 // // // // de Nacer Benkharfallah du 28/08/2005 (peut être un cousin que je ne connais point). Message de Raffik Benkharfallah du 28/03/2007 (message assez récent et aussi cousin que j’ignore). Je tiens à siter et le nom des enfants d’ILMANE ainsi que les noms des familles de descendance : I) HELLAL : on y trouve les familles suivantes AROUSSI-AMAOUCHE-ZEGAGGH-CHEIKH-TAOUCHICHET-LEKBIR-HAMADOUCHE-FARHAT-OUBEDDAR-OUBEDAKH
II) SILINE : on y trouve les familles suivantes AMAROUCHE-MEZIANE-KHIMCHA-ZEROUK-MALOUAI-SELLAOUI-MOUNNAH-ADOUANE-MEDJARABA-OUREDJAL-IKENE-GACHTOUM
III) MESBAH : on y trouve les familles suivantes HAMDIKEN-KACI-OULHADJ-BAARADJ-BOUZGHOUB-RIHLA-BENAMER-MAALOU-BENMESBAH-DEKROUCH-BOURZOU
IV) ANANE : on y trouve les familles suivantes BOUTANKIK-GUERBOUKHA-LAABA-OUAKSES-BOUAZIZ-BOUABTA-IKHLEF-ANANE-ADJIR
Les noms de familles qui viennent ensuite, ne sont pas originaires du village d’El-Main mais y ont foulé le sol par leur présence en y achetant des parcelles de terrains ou se sont liées par le lien sacré du mariage.Il s’agit des familles suivantes :
BOUGUERBI-BENYAHIA-ouaghliS-AIT OUMOKRANE-ADJENAK-TAKRIBTH-TALBI-GUEZZOU-BENYIDIR-ACHACH-BERKA-ACHAIBOU
NB/JE RISQUE D AVOIR OUBLIE QUELQUES NOMS DE FAMILLES JE M EN EXCUSE CE N EST NULLEMENT MON INTENTION.
Récit trouver sur http://ilmayen.com/spip.php?article96
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El Main News aime ça.
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Abdelmalek Benkherfallah مأجور إن شاء الله أخوك عبد المالك بن خرف الله بن الربيع
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Abbas Benbaouz toute en lisant l'article qui parle sur l'histoire des origines des fondateurs de ce tres beau village,dont je suis egalement originaire issu des silines.Qui ne connait pas (da3vi ouva3uz) BENBAOUZ LARBI le célèbre Cordonnier du village , il a participé à la guerre de libération avec le grand héro de la révolution AMIROUCHE Ait Hammouda,en coudant des sacs a dos des cartouchieres...etc.
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El Main News Bonjour Abbas BENAOUZ ! Durant les seize mois de passage d'El-Maïn siège de douar sous le contrôle du F.L.N/A.L.N entre la fin de l'année 1955 jusqu'à la date de l'installation du poste militaire un certain 07 Avril 1957 après de violents combats entre les deux armées qui se disputent ce point stratégique, ce que tu apportes comme souvenirs de jeunesse est juste à plus d'un titre. A l'artisan cordonnier da Larbi BENBAOUZ, il va falloir rajouter son confrère da Mohand n'BAHA et tous les autres artisans de ce groupe de villages enclavés dans ce périmètre considéré comme zone interdite à ce moment là. Le matin toute la population subit des pilonnage par des avions bombardiers ou d'observations toutes les journées qui ne finissent pas, le soir des coups de canons de 75 mm qui se terminent par des opérations de ratissages périodiquement. Le nom géographique EL - MAÏN sous-entend vous toutes et vous tous qui êtes nés là encore vécu un moment ou à autre de-dans et par voie de conséquence quiconque ouvre un blog, un site ou une page vous donne le droit de parole pour critiquer objectivement, raconter vos propres souvenirs, compléter des versions de X ou de Y, faire des propositions d'améliorations, parler de l'actualité et des projets d'avenir à caractère socio-économique et culturel. Vos silences arrangent les autres et les vides que vous leur laissez, ils les récupèrent à leurs avantages en parlant à vos noms et à vos places sans que vous ne soyez d'accord ou pas d'accord. Merci pour ta contribution Abbas. Passes mon bonjoour à Mohand Nadir et à Lahcène.
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Rane Zouzou mais ou elle est la famille BEDJAOUI???????
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El Main News Bonjour Rane Zouzou ! Vous avez bien fait de citer le nom de cette famille BEDJAOUI représentée par da Tibi (Tayeb) et da Vachi (Bachir) qui avaient beaucoup apporté à la révolution algérienne par leurs contributions en mobilisant tous leurs moyens voire toutes leurs forces ouvertement à son service au village de Lemtardh "El-Madjène" douar El-Maïn à ce moment là d'avant et de l'après le congrès de la soumam entre le début de 1956 jusqu'à l'installation du nouveau poste militaire français. Ensuite les activités se faisaient ou continuaient de leurs parts clandestinement voire discrètement sans savoir à quelle date da Tibi était tombé au champ d'honneur et redevenir par voie de conséquences martyr de la révolution. Les jeunes intellectuels de leur village d'origine ainsi que leur famille revient à eux la charge d'enrichir leurs itinéraires et ceux des autres par leurs témoignages. Les souvenirs d'une seule personne ne suffisent absolument pas pour sauver la mémoire de nos villages dans le respect surtout de l'état-civil si vous le voulez bien.
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Abdelmalek Benkherfallah الأخ بن خرف الله مشكور إلا إنه لدي تعليق على إنتماء بعض العائلات للأمانة فقط ومثلما ينسبون أنفسهم هم
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Abdelmalek Benkherfallah المنحدرون من هلال هم: لكبير ولعبة عائلة واحدة + بن الشيخ + زقاغ + ثوشيشات+بن هلال+أمعوش وعروسي عائلة واحدة+كشتوم+....الخ
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Abdelmalek Benkherfallah المنحدرون من سلين هم : سلين+بن سلين+علاوي+سلاوي+بوزغوب+بلي + رادي + واكلي + بوزنبيل + ....الخ
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Abdelmalek Benkherfallah المنحدرون من مصباح هم : بومصباح + مصباح و معظم سكان الماجن
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Abdelmalek Benkherfallah المنحدرون من حالة أو المان هم : إلمان + بن حالة + براشدي .....الخ
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Abdelmalek Benkherfallah وباقي العائلات دخلت إلماين فيما بعد
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El Main News La question qui reste posée est celle de la datation de l' installation de toutes ces familles citées une par une à ce lieu dit le village El-Maïn. Dans la vie et dans toute chose, il y a toujours deux options de choix par la joie la chose événementielle choisie ou par le chagrin, celle subie. Par exemple la question de savoir s'il faut parler du douar, de la commune village par village et dont chaque village parlera un par un de l'installation des familles une par une avec datation ou alors, se refermer sur le village El-Maïn seul ? Les autres feront leurs propres publications ici ou là. La deuxième chose consiste à parler de deux autres options....Faudra-t-il tout publier ou alors publier une partie de l'historicité d'un événement et éviter l'autre ? S'il faut décider de censurer, faut-il pratiquer une censure dans le censure en informant les uns sans en informer les autres de la décision prise entre les individus, les quartiers et les villages ou alors, transmettre l'information à tous les autres intéressés par tel ou tel sujet de façon à ne pas publier les choses qui ne doivent pas l'être ? On ne peut pas faire une chose, décider d'une action et laisser faire son contraire par les autres qui ne sont pas au courant des décisions prises en conclaves. Merci pour vos contributions en tamazighth, en arabe et en français.
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Abdelmalek Benkherfallah شكرا ، حقيقة ، لم يرد عن أهل إلماين أي تاريخ أو إشارة عن زمن إستقرارهم في الموضع الحالي لإلماين ، ما عدا تلك المعلومات غير الموثوقة التي تقول أن مسجد إلماين المركزي (جامع الجمعة) بني في القرن السابع للهجرة النبوية ، وقد وجدنا في كتاب بعنوان (الليبيون السومريون) كلاما عن قبيلة يقال لها الماية هي التي احتضنت عبد الرحمان بن رستم مؤسس الدولة الرستمية وسماها بين قوسين دولة إلماين حيث ذكر أنهم تفرقوا في البلاد بعد سقوط دولتهم في تيهرت وقال أن بقاياهم موجودة في إلماين ولاية البرج و بعضهم في إلماين بعين الدفلى والبعض الاخر في جربة التونسية وذكر أنهم معروفون بالفكاهة واللباقة والحكمة وهذا من سياسة الحكم كما قال
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El Main News La chose la plus frappante dans cette importante lecture et analyse cher Abdelamalek Benkherfellah c'est que malgré une telle historicité, le douar ou la commune El-Maïn ne peut même pas récupérer ses registres de l'état-civil autrefois gérés par la commune mixte des Bibans à Medjana puis transférés ou retranscrits en 1983 malgré le site in observé pendant six jours sur le découpage du 22.04 au 28 Avril 1982. Pendant que les autres douars avancent, le douar ou la commune El-Maïn à cause de ses divisions reculent. C'est très très malheureux tout ça. Ahmed Salah AMAROUCHE.
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Abdelmalek Benkherfallah oui tu a raison
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El Main News Non cher Abdelmalek Benkherfallah ce n'est pas moi Ahmed Salah w'AMAROUCHE qui ai raison mais ce sont les faits rééls sur le terrain. Par exemple essayons de faire une étude de cas objectivement sur la situation suivante : Sur quelle base un livret de famille délivré à X citoyen entre 1957 et 1962 avait été fait et qui le présente pour sa retranscription en arabe ? Est-ce-que c'est sur la base des registres de l'état-civil oui ou non ? Si c'est le cas pourquoi lui refuser la délivrance de cette validation du nouveau livret de famille vierge qu'il présente par devant les guichets de l'antenne mairie ou de la nouvelle commune El-Maïn créée en 1984 ? Un autre cas de figure : un type né à El-Maïn dans les années 1940-1960 dont les registres se trouvent nouvellemet à Djaâfra et qui demande à ce que son acte de naissance soit informatisé à El-Maïn, pourquoi le lui refuser pour la simple raison que le registre se trouve à El Kantina créée en 1964 ? Est-ce-que c'est l'emetteur qui introduit des données au micro ordinateur en tant que support physique scientifique ou bien c'est l'ordinateur qui oblige les gens chargés de l'informatisation d'émettre uniquement les documents délivrés à la mairie d'El-Maïn où se trouvent les registres ? Dans ce cas faudra-t-il informatiser les registres par douar ou commune de naissance ou alors faire le mélange de tout sans chercher à savoir le but recherché dans tout ça à tel point de toucher à l'identité des citoyens nés bel et bien à El-Maïn ? Se rattacher à Akbou n'est pas un problème. C'est plutôt la façon de gérer les transports contrairement à toutes les communes du voisinage rattachées à la wilaya de Sétif, de B'Gaïth ou de Bordj Bou-Arréridj. La création d'une ligne de transport Sidi-Idir - Akbou en partance de Sidi-Idir en aller retour et sans la possibilité d'un autre aller - retour Akbou-Sidi-Idir reste le même problème qu'avec la gestion des transports El-Maïn BBA et en aller - retour et sans possibilité d'un aller - retour BBA - El-Maïn. Autrefois Bellala Seddik tenait un cahier sur lequel il enregistrait les extraits de naissances délivrés à Guenzet ou à Medjana aux gens d'El-Maïn qui en formulaient des demandes par courrier pour qu'une autre fois, il n'a pas à en redemander leurs délivrances à Medjana au cas ou de tels actes seront redemandés. Parfois, il faut aussi travailler sa tête que ce soit en arabe, en français ou en berbère. La question de l'identité pose un sérieux problème d'état-civil peu importe les couleurs politiques, syndicales ou socio-culturelles car il s'agit d'un grand problème d'intérêt général qui nous est commun comme la route, l'eau, la santé, la scolarité, les transports et les communications. Je suis né au douar El-Maïn, mais ce n'est pas du douar Djaâfra, de Colla, de Teffreg, de Tamokra, d'Ath Wartilane, d'Aïn Legradj, d'Ath Yalla, de Bou Hamza qui sont nos voisins au destin commun historiquement et géographiquement dont les liens de sang et d'intérêts sont très très forts à tous points de vues. Ce-ci c'est comme les limites des champs seulement sans que de telles limites ne nous empêchent de faire des labours-semailles, des récoltes, des cueillettes ensemble. S'il y a l'indication du lieu de naissance sur un document délivré, il doit être aussi accompagné du cachet portant l'identification du douar ou de la commune. Toucher à l'amour propre des gens ça, c'est très grave. Créer une commune sans lui donner les moyens de faire prendre charge elle-même ou bien la mal représenter auprès des autres instances de la wilaya, c'est encore plus. Le débat reste ouvert et le sujet n'est pas épuisé.
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Etat-civil EL- MAÏN : " Siège social puni par les siens."
Je copie et colle le partage de l'article suivant ...ALditAS :
Issaad Guenzet
il y a environ une heure ·
تحقيق حول بلدية قنزات
من اعداد مجموعة من تلاميذ متوسطة ميدوني الشريف
المجلة المدرسية ( الوفاق ) العدد الأول فيفري 2000
لقد عرفت الجزائر عدة تقسيمات إدارية منذ استقلالها وكان آخرها سنة 1984 أساسه البلدية …..
نحن تلاميذ بلدية قنزات ترعرعنا في أرضها الطيبة , تضللنا بسمائها المشرقة , وهي التي تحيا بتاريخها المجيد الحافل بالبطولات ,
عشنا فيها وسنضل فيها نكافح الحياة بصعوباتها ومعاناتها
لنحيا ونعمل لنحقق المستقبل المشرق .
ظهور البلدية
ظهرت بلدية ڤنـزات سنة 1946 , أ ي في عهد الاستعمار وكانت تضم دواري " حربيــل و إخـليجن "وقد كانـت تسمى بلدية " ڤـــرڤور" المختلطـة وقد كان يديرها رئيس يسمى آنـذاك " القـايد " وبدأ الحكم فيها بعد
الاستقلال مباشرة وأول رئيس لها في عهد الاستقلال هو السيد " حناش ابراهيم "من قرية " إيسومار"
موقعـهـا
تقع بلدية ڤنـزات شمال غرب ولاية سطيف وتبـعد عن مقر الولاية بحوالي 85 كلم حيث يربطها بالولاية الطريق الوطني رقم 76 . يحدها :
شرقا بلدية " حربيل "
غربا بلدية " جعافرة "
شمالا بلدية " عين لڤراج "
وجنوبا بلديتي " تسامرت " و " برج زمورة ".
تبلغ مساحتها 61.37 كلم ² ويقدر عدد سكانها حوالي 4545 نسمة , يتوزعون على 26 قرية ,بعدما كان هذا العدد حوالي 48000 نسمة سنة 1958 وقد عرف هذا العدد الهائل من السكان نزوحا ريفيا خطيرا نحو المدن
وخاصة باتجاه العاصمة .ومن أهم أسباب هذا النزوح نقص الوسائل والهياكل الاقتصادية وغياب مخطط تنموي محلي .
البلدية تاريخيا
تعتبر منطقة بني يعلى من أكثر المناطق التي ساهمت في ثورة التحرير المباركةإذ يقدر عدد شهدائها بحوالي 608 شهيد وقد كانت هذه المنطقة من أول المناطق التيبدأت منها الثورة وكانت في نفس الوقت معقلا
هاما من معاقل جيش التحرير والدليلعلى ذلك عدد المعارك التي خاضها بالمنطقة إذ تقدر بحوالي 40 معركة أهمها :
معركة الجامع امبلوط (جويلية 56 ) واد سوكــة ( ماي 58 ) جبل ثيــلا ( جويلية 57 ) حيث دفعت المنطقة بأحسن أبنائها شهداء للواجب والوطن , وأولهم هو الشهيد : بوزناد أحمد سالم رحمه الله
تضاريسها ومناخها
تتميز المنطقة بمناخ حار و جاف صيفا , وبارد ممطر شتاء مع تساقط الثلوج في بعض الأحيان .
كما تحتوي على مساحة غابية كبيرة تحتوي على أشجار الزيتون و المقدرة بـ :
المساحة الكلية : 35.69 هكتار المساحة المروية : 32 هكتـار
مــواردها
كراء السوق الأسبوعي و المسلخ البلدي والمحلات التجارية .
الضرائب المفروضة على التجار و الحرفيين .
مستحقات المياه .
للإشارة فان موارد البلدية محدودة و ميزانيتها عاجزة حتى عن تسديد أجور العمال لولا
تدخل خزينة الدولة .
مرافقــــها
تحتوي البلدية تقريبا على كل المرافق و المتمثلة في :
مقـــر البلدية .
مركز صحي و طبيب خاص و صيدلية .
قاعتين للعــــــلاج ( أ ورير و الشريعة ) .
مكتب بريد و مؤسسة الضمان الاجتماعي .
ملحقات تربوية للطور الأول و الثاني موزعة على كل تراب البلدية .
اكمالية في مركز قنزات .
دار الشبــــاب و ملعب بلدي .
26 مسجد موزعة على كل الأحياء و القرى
زاوية ( الجامع أوقري ) لتعليم القرآن و علومه
توزيـع السكـان
المجمع السكاني الرئيسي : ڤنــــزات المركز .
القرى الواقعة شرق البلدية : ثاوريرث يعقوب ، إغيل حموش، إيغوذان ، بوعذلتن ،
ثيمنقاش ،ثيزي مجبر ، ثاڤمة ، إغيل الخميس ،
ثاوريرث ثاملالت ، ثيقرث نتڤجدة ، الشريعة ، فوملال .
الواقعة غرب البلدية : أورير، ثاماسث ، أغلاذ انصالح ، ثامالوت ، إمصباحن ،
ثيڤرث ، ثامدة (أطلال ) ، إيسومار ، ثيكنيتشوث .
المشـاريع المنـجزة
شبكة توزيع المياه في قنزات مركز و خزان المياه في طور الانجاز .
بناء 50 مسكن على وشك الانتهاء .
تهيئة مركز قنزات .
بناء كتاب الشهيد أمام مقبرة الشهداء .
تعبيد الطريق الرابط بين قنزات و ثيمنقاش .
ملعب متعدد الرياضات في طور الانجاز .
مركز التكوين المهني في طور الانجاز
مجموعة من تلاميذ متوسطة قنزات
المجلة المدرسية فيفري 2000
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El Main News Proverbe kabyle : " Mara dhighli wazgare, tokothène fellasse igène wiyène."....." Quand le boeuf tombe, les couteaux se multiplient sur sa gorge..." C'est ce qui se passe exactement avec les villages du douar et de la commune El-Maïn disparus du joournal officiel de la république algérienne démocratique et populaire depuis le milieu de l'année 1963 jusqu'au 31 Décembre 1983 et enfin réapparaître le 02 Janvier 1984 après le hissement de la ville de Bordj Bou-Arréridj au rang de chef lieu de wilaya. Bien que le nom de notre ancien président de la délégation spéciale de Guenzet le regretté défunt Hannèche Brahim représentant également Tittest et El-Maïn en 1963 était cité dans le présent article, le nom géographique El-Maïn reste occulté, difficile à citer comme une pillule difficile à avaler restée dans la gorge malgré la citation du découpage administratif de 1984. Mais moi Ahmed Salah w'AMAROUCHE je vois ça normal, puisque même les natifs du douar et de la commune El-Maïn depuis leurs aïeuls jusqu'à ce jour ont une certaine honte à le citer en plein centre de Bordj Bou-Arréridj ou dans son pourtour géographique du voisinage. Oh non je ne cherche pas à me faire une publicité là dessus lorsque j'évoque les problèmes auxquels nous sommes toutes et tous confrontés puisque les listes électorales sont déjà clôturées d'une part et d'autre part, je ne suis le militant d'aucun parti politique, d'un syndicat ou d'une quelconque association j'en suis très conscient. Nous ne sommes plus en 1990.
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Sadek Benbetka Bonjour,
Le douar El Main a puni par les siens. L'historien Yahia Bouaziz dans son livre avait éclipsé l'histoire d'El Main. Et l'autre historien d'origine de Guenzet dont j'ai oublié le nom, (son frère a été exécuté à El Main en 1958 par l'ALNdans et aussi dans son livre d'histoire sur la région, il avait écrit que le douar El Main n'a pas participé massivement à la guerre de liberation nationale.
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Mais ce qui m'a étonné vient du fait suivant : pourquoi les Moudjahidines de douar El Main n'ont pas donné leurs pièce à convictions à cet historien de Guenzet ou de convaincre Yahia Bouaziz quand il était vivant pour répondre à ces deux historiens.
Je dis et je redis qu'El Main reste et restera occulteé dans toutes les cartes géographiques officielles puisque Yahia Bouaziz quand il était vivant, avait été accueilli par des verres de the chaud par ?????? au lieu de le critiquer.
Un proverbe Kabyle : thir gouakh zighwan ayissgharane (l'histoire d'El Main a frappée par ses siens). -
El Main News Bonjour Sadek Benbetka ! Oui cher Sadek Benbetka, t'a entièrement raison de dire ça je te cite : " thirougakh zighwane ayissgharane " " les bâtons sont de vous les bois " (l'histoire d'El Main a frappée par ses siens)....Tout d'abord nous devrons rectifier le titre de ce "récit sur le village El-Maïn" pour parler de notre histoire identitaire en le remplaçant par celui de : " Récit sur le siège social du douar et de la commune El-Maïn" ....Oui El-Maïn est vendu au marché par une partie de ses propres enfants de quelques habitants complices de tous les villages le constituant confondus en contre-partie de chez je ne sais quoi, à commencer par la gestion des registres de l'état-civil lui revenant de droit encore domiciliés à El Khadra prête nom douar Djaâfra chez qui ceux-ci avaient été transférés en 1983 une fois retranscrits à Bordj Medjana à partir des archives ancestrales, redevenu siège de daïra administrative et politique apte à délivrer normalement et uniquement seulement, les documents d'état-civil du douar Djaâfra et de ceux qui le veulent encore, les cartes grises, les cartes d'identités, les passeports et les permis de conduire après l'arrêt du procéssus éléctoral du 26 Décembre 1991 dont elle était avec Zemmourah une daïra electorale à la suite du découpage du même nom " éléctoral." ? S'il y a des harkis à El-Maïn cela il faut l'inscrire dans une démarche de son ontexte historique. Leurs défunts parents se trouvant aux cimetières au moment de la guerre et leurs enfants mineurs n'ont pas à payer la sauce. Aussi, pourquoi punir l'ensemble de la population du douar et de la commune ayant servi certes de siège du poste militaire du temps de la guerre et ses conséquences les misères sans compter les souffrances avec toutes leurs références ? Est-ce-que ces harkis là, sont uniquement originaires du douar El-Maïn sans les autres villages des autres communes et des autres douars ? Y'a-t-il à la mairie d'El-Maïn une banderole de bienvenue aux usagers citoyens écrite en berbère (thamazighth=thifinagh), en arabe et en français comme c'est le cas au siège de l'A.P.C de Djaâfra ? Qui a empêché les intellectuels d'El-Maïn de l'écrire et de l'afficher comme se la font les autres ? Les regréttés défunts Yahia Bouaziz et Mouloud Gaïd frére de Malika Allah irahm houm (que Dieu agrée leurs âmes) n'avaient jamais mis les pieds au siège du douar ou de la commune El-Maïn pour tenir des conférences et ni de tables rondes avant la publication, ni de présentations dédicaces sur leurs livres. Mais la question qui se pose : est-ce-que les associations locales les avaient invité deleurs vivants ou non ? Le défunt Yahia Bouaziz accueilli par les foukaras "adéptes confrériques" de la tarika alawias tu veux dire ? Où ça ? Oui j'avais eu des échanges épistolaires avec lui mais je ne l'avais jamais un jour rencontré. J'avais des copies sur ses réponses et mes écrits. Oui l'on ne retrouve aucune photo souvenir en tenue militaire des djounouds d'El-Maïn, sauf celles de si Ahmed Ou Sissi Allah idhekrouwe bel khire, d'Adjenek Belkacem " Kassa Himi," ancien président de l'association de bienfaisance culturelle et sociale du douar El-Maïn née à Alger après le rattachement avec Guenzet en 1983, de Benkherfellah Rabia, de Méziane Awghlis et de si Salem Ou Ikhelef Allah yare hame houme. Oui El-Maïn est occulté par ses propres enfants nés sur ses terres communales historiquement et géographiquement parlant. Pourquoi avoir peur ou la crainte lorsqu'on évoque une réalité vérifiable partout y compris au sein de la mémoire collective ? Nous ne sommes jamais prononcés contre les institutions de l'état que sont je les cite : " la gendarmerie nationale, les services de polices, les organisations de masses du mouvement associatif comme les anciens moudjahidines, les enfants de moudjahidines, les enfants des chouhadas, entres autres. En revanche, nous militons contre les dépassements, les abus d'autorités, les injustices sociales, les provocations, les harcèlements psychologiques, les marginalisations, les mouvements de violences d'où qu'ils viennent. Notre état-civil nous le réclamons et nous ne baisserons jamais nos bras, car cette revendication commencée depuis le 01 Novembre 1972 avec preuves à l'appui est légitime parallelement à l'identité amazigh.
- L'épineux problème de la gestion des anciens registres de l'état-civil du douar El-Maïn d'avant 1955 transférés du syndicat intercommunal des Bibans à El Kantina en 1983 une année avant la création de la nouvelle commune El-Maïn en 1984, rentre dans le cadre d'une bataille socio-politique, économique, juridique et législative et culturelle commencée déjà depuis le 01 Novembre 1972 devant être résolu par les autorités locales elles-mêmes à défaut de quoi, il sera porté légalement par devant les instances supérieures du pays pour son traitement judicieux légalement à bon escient en leurs âmes et leurs consciences. Donc le combat pacifique et militant en faveur de cette juste cause continue.
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Paris : ville des poètes.
Larbi Ahmed Salah Amarouche a partagé la photo de J'aime le français.
Culture - nature : " Passé, présent & futur."
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Bonjour !
I - Tout document d'état-civil de type précédemment né au douar El-Maïn (Commune mixte des Bibans) cacheté par le sceau de la commune Djaâfra chez qui les registres étaient tansférés ou transcrits en 1983 par l'ex : syndicat inter-communal doit normalement faire l'objet d'une légalisation par le cachet de l'A.P.C d'El-Maïn (Daïra de Djaâfra) créée en 1984.
2 - Aussi, tout document d'état-civil de type précédemment né au douar Djaâfra (Bibans) au cas où il est délivré et cacheté par l'A.P.C d'El-Maïn (daïra de Djaâfra) où les registres ne se retrouvent pas là contrairement au premier cas, doit faire l'objet d'une légalisation par l'A.P.C de Djaâfra (Daïra de Djaâfra).
Cette ancienne commune mère redevenue Daïra mère reste habilitée seulement au regard des législations et des lois en vigueur à ne délivrer que les cartes grises, les permis de conduire, les cartes d'identités et les passeports.....
3 - Il s'agit là d'une conformité avec la lecture des lois et des législations en la matière et nullement de racisme de quelque nature et de quelque forme que ce soit. Tracer des limites en tout dans tout, pour ensuite les éliminer par la solidarité, le reconnaissance des uns par les autres, le respect mutuel, de bon voisinage d'intérêts socio-économiques et culturels réciproques. -
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El Main News Bonjour ! Madjid vieux militant nationaliste de la fédération de France du F.L.N né au douar & à la commune Djaâfra m'avait répondu déjà par cette version du " mélange entre les torchons et les serviettes" lorsque je lui explique ma position sur les contradictions portées sur mon extrait du registres des actes de naissances symboliquement commencée par le fameux proverbe du " mélange entre les carottes et les navets." Le siège du douar et de la commune El-Maïn n'est jamais le domicile et ni n'appartient au seul village d'El-Maïn faisant partie intégrante de l'ensemble des éléments villageois consitutifs de ce cercle ou de ce périmètre géographique et historique. Merci pour ton réveil tardif si tu n'es pas né avec la même génération de la décennie 1980 dont les jeunes gens ont maintenant trente ans d'âge. Larbi dit : Ahmed Salah AMAROUCHE.
LA VALEUR JURIDIQUE DU CACHET DU DOUAR COMMUNAL.
Les dames de notre région d'El-Maïn elles seules, peuvent faire un peu d'efforts pour retrousser leurs manches, travailler à faire réveiller les hommes de façon à bousculer l'histoire et changer un peu les choses comme les hommes continuent de somnoler jusqu'à ne pas savoir ce que représente la valeur du cachet qui porte le nom géographique de leur commune difficilement renée le 02 Janvier 1984 à tel point que certains parmi eux, refusent de reconnaitre l'historicité identitaire locale à leurs frères El-Maïnais nés là dans ce coin, en commençant par la génération des années 1950 jusqu'à celles de ceux qui ne sont plus de ce monde en refusant ainsi, d'informatiser leur état-civil dans leur lieu de naissances sous la couverture de l'absence de registres de l'état-civil domiciliés à la mairie d'El-Maïn. Le lieu de naissance redevient un simple lieu de domiciliation tel que lu sur les nouveaux imprimés alors que la plupart n'habitent même pas à ce lieu dit El-Maïn siège administratif successivement existant à travers les périodes de l'histoire. El Kantina était née ou créée après EUX, si l'on se base sur les datations historiques et fût renommée Djaâfra au milieu des années 1960 devant concerner uniquement les gens historiquement nés au douar Djaâfra. Un point c'est tout. Nos extraits de naissances redeviennent de simples photocopies. Ils n'ont aucune valeur juridique au regard de la lecture objective des lois muettes si on ne les fait pas parler nous mêmes les citoyens que nous sommes pour les faire valider, harmoniser, conformer et légaliser dans le cadre de la défense de nos droits les plus élémentaires. Nous sommes nés à El-Maïn, nos registres de l'était-civil se trouvant encore à El Kantina et le cachet apposé sur nos documents est celui de Djaâfra au lieu que ce soit celui de la commune El-Maïn. C'est une flagrante contradiction et une aberration à la fois comme je le vois, persiste et signe. C'est du pur faux et usage du faux.
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AÏD EL KEBIR (Amokrane) : " BONNE FÊTE ! "
Bonjour ! Saha l'Aïd Nouène Amokrane ! SAHA AÏD KOUM EL KEBIR (El Adha=fête du sacrifice de sid na Brahim Al Khallil) ! BONNE ET HEUREUSE FÊTE DE L'AÏD EL KEBIIR A TOUTES ET à TOUS LES AMI(E)S DE CONFESSION MUSULMANE dont je choisis d'une main ce clavier à défaut de stylo à plume d'anton et de l'autre, le souvenir de la charmante et belle mosquée de la ville de Bordj Zemmourah (13.10.2012) à défaut du rameau d'olivier symbole de persévérance et de tenacité en faveur du militantisme en faveur de la paix et de la stabilité traçant ainsi les limites inter-communales sur notre état-civil pour mieux les éliminer par la solidarité.
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les éliminer par la solidarité.
EL- MAÏN - GUENZET : " Entre jadis et maintenant."
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Bonjour !
Mes pensées vont vers tous nos morts de la famille dont mes parents et les autres Allah yare hame houme parce que, dans nos coutumes et nos traditions le jour de fêtes religieuses nous leur rendions autrefois des visites aux cimetières populaires où ils reposaient en paix.
Les manques de moyens de transports en aller - retour nous font grand défaut pour nous les dépourvus originaires du douar communal El-Maïn - Wilaya de Bordj Bou-Arréridj à tel point de ne pouvoir remplir notre devoir filial descendant et ascendant.
A l'entrée à pas assez prudents et légèrement posés sur le sol pour éviter de marcher sur les tombes ou de déranger les morts , nous disions : " assalam ou alïkoum y a ahl hadhihi l'madina."
Quand l'herbe monte trop haut, les habitants des villages organisaient des journées de volontariats pour leurs nettoyages.
De nos jours ce sont les profanations qui se font en certains endroits.
Que Dieu les agrée en son vaste paradis. -
Bonne fête Issaad Guenzet !
pour vous mes amis et ma famille ya 52 photosPar : Issaad GuenzetPhotos : 52-
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COMMUNE EL-MAÏN : " Complot politico-informatique cambiné."
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Partout dans les villages de notre région, à l'image de toute l'Algérie, la population a répondu à l'appel du F.L.N/A.L.N. Les habitants s'organisent sous l'égide du F.L.N à faire face la guerre par tous les moyens et était décidée à combattre l'armée française en se mettant à ses côtés notamment après les grands désastres de 1956 opérés par l'aviation militaire.
De jeunes volontaires s'engagent dans l'A.L.N et quittent leurs familles, leurs villages, leurs douars, pour monter au maquis.
Des jeunes appelés au service militaire désertent l'armée française et rejoignent leurs frères combattants pour libérer leur pays de la domination coloniale.
Parmi ceux-ci le jeune MEDGHAR Amar né le 17 Février 1934 au village BOUFENZAR, douar DJAÂFRA - Commune mixte des Bibans, canton judiciaire de Mansourah, arrondissement de Sétif, département de Constantine à l'âge de vingt trois ans qui déserte l'armée française en 1957 et qui à son tour décide de s'engager pour la libération nationale.
Recherché sans être retrouvé chez sa famille au village, son père était hautement malmené par les soldats français.
Il participe même à la bataille de Lemtardh "El Madjène au sein du groupe de la katiba de feu Seddik Ou Mahfi en 1957 lors d'un violent accrochage voulu par ce chef aguerri qui ne voulait pas quitter les lieux au moment où un autre accrochage se déroule au piton 1029 Adrar Ou Maza pour éviter une vengenance de l'armée française pouvant se replier dans ce village non loin de là, raison pour laquelle cette présence du groupe avait été soufflée au capitaine Louis AUDRY du poste militaire avancé de Beni-Hafed situé à quelques quinze kilomètres à l'Est et finit par décrocher pour monter à El-Maïn, puis Guelaguel chez ABDOUNE Saâd qui le conseille de quitter vite les lieux pour rejoindre le village voisin Ouled Sidi-Idir, rejoindre Toufirth où cette photo souvenir avait été faite avec l'un de ses jeunes compagnons d'armes à pieds bien sûr via Thiourirines Tizi-Aïdel, Tamokra et Tassiera à ce moment là.
A l'indépendance de l'Algérie si Amar descend du maquis avec le grade de sergent et s'installe symboliquement à El-Maïn siège administratif montagneux, stratégiquement bien situé à quelques neuf cents mètres d'altitudes pour des motifs à la fois de fierté et de préservation de sa santé qui se dégrade à cause de ces faits d'armes étant tombé malade asmatique.
L'asthme est une maladie inflammatoire des bronches, cette affection est caractérisée par des crises de dyspnée ou crises d'asthme (gêne respiratoire).
Dès qu'une autre occasion sera donnée, d'autres versions des faits vous sera donnée pour complétée cette importante légende révolutionnaire de jeunes gens engagés volontaires en pleine guerre et ses conséquences les misères.
ALditAS.
Guerre d'Algérie : " L'indépendance et ses conséquences."
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Commune El-Maïn Commune El-Maïn
Chaque armée a ses stratèges qui réfléchissent, qui travaillent à la recherche de meilleures méthodes pour affaiblir ses ennemis.
Et la stratégie, c'est la manière d'élaborer méthodiquement des plans d'ensemble en vue de porter des coups les plus durs à son ennemi.
L'A.L.N n'avait ni stratèges, ni stratégie déterminée mais des approches ou des méthodes pour déceler les failles chez l'ennemi, le rendre vulnérable et le frapper au moment où il s'attend le moins. Il s'agit de tendre des embuscades, de faire des attentats, de tendre des pièges, de placer des bombes et des mines au passage des convois militaires, de harcèlements de postes militaires avancés, etc....Il s'agit aussi de méthodes de la guérilla, que ce soit au niveau de zones urbaines ou des maquis.
La guerre d'Indochine est un exemple pour le F.L.N/A.L.N et une leçon pour l'armée française.
Mais comme dit le proverbe, pour évoluer, il faut savoir évaluer. Il s'agit pour la révolution algérienne de tirer les leçons des deux premières années de la guerre 1954-1956 en décidant de tenir un congrès pour définir une nouvelle stratégie adaptée à la nouvelle situation du conflit en rectifiant surtout les fautes ou les erreurs commises au passage.
Ce congrès avait été tenu au lieu dit Ifri dans la région de l'Oued Soummam tout près de la ville d'Akbou par dessus lequel se trouvait le P.C du défunt si Amirouche Allah i rahmouwe ou yare hame koul chouhadas....Athire hame Rabi....Que Dieu agrée son âme. -
Commune El-Maïn Commune El-Maïn
Le site in revendicatif sur le découpage du douar El-Maïn observé du 22 au 28 Avril 1982 n'était pas tombé spontanément du ciel.
Il y avait bien une préparation de longues années de réclamations au par avant en utilisant tous les moyens légaux.
Voici un exemple comme étude de cas tiré d'une coupure de presse dont on regrette le manque de date et du numéro de parution de l'article. -
Le site in revendicatif sur le découpage du douar El-Maïn observé du 22 au 28 Avril 1982 n'était pas tombé spontanément du ciel.
Il y avait bien une préparation de longues années de réclamations au par avant en utilisant tous les moyens légaux.
Voici un exemple comme étude de cas tiré d'une coupure de presse dont on regrette le manque de date et du numéro de parution de l'article.
Algérie profonde : " Appeler les choses par leurs NOMS.
Bonjour !
Quand il faut faire des comptes, il s'agit d'opérer très sérieusement.
Alors appelons les choses par leurs NOMS d'une façon harmonieuse et homogène pour que personne historico-géographiquement ne se gêne.
Malheureusement les archives sont rares et de nombreux témoins ne sont plus de ce monde maintenant.
Méziane Awghlis dit TAHRAT Abderrahmane originaire de la COMMUNE historique EL- MAÏN était un martyr de la révolution mais tombé au champ d'honneur en 1958 du côté de Bordj Zemmourah avec le grade de lieutenant.
En conséquence, la plaque commémorative érigée en son nom à Bordj Bou-Arréridj doit normalement être réctifiée pour que chacun(e) ait son dû.
Larbi Ahmed Salah Amarouche Bonjour ! Oum Imane a partagé une photo de أنا صحفي ، إذاً أنا موجود. قرار الجزائر الامس مع كليتون 1-لن يدخل جندي جزائري واحد إلى الأراضي المالية 2- لن يطَأ جندي فرنسي ولا أمريكي واحد شبر من أرض الجزائر 3- لن تحلق طائرة عسكرية واحدة أمريكية بطيار أو بدونه في الأجواء الجزائرية كل ما ستفعله الجزائر إستعمال نفوذها و الضغط دبلوماسيا على الطوارق قرار الجزائر الامس مع كليتون 1-لن يدخل جندي جزائري واحد إلى الأراضي المالية 2- لن يطَأ جندي فرنسي ولا أمريكي واحد شبر من أرض الجزائر 3- لن تحلق طائرة عسكرية واحدة أمريكية بطيار أو بدونه في الأجواء الجزائرية كل ما ستفعله الجزائر إستعمال نفوذها و الضغط دبلوماسيا على الطوارق Je n'aime plus · · Partager · il y a 10 heures · Vous aimez. Commune El-Maïn Commune El-Maïn Une décision salutaire si c'est le cas...1 - Aucun seul soldat algérien ne pénètre sur le sol malien. 2 - Aucun seul soldat français ou américain ne se posera sur le sol algérien. 3 - Aucun avion américain ne passe par l'espace aérien algérien. Toute chose que fera l'Algérie ne se décidera que par ses propres applications en ce qui concerne les pressions sur les touaregs. Et si cette stratègie s'approfondie aux registres de l'état-civil de leurs communes d'origines pour s'informatiser registre par registre ancien ou nouveau chez elles ce n'est pas encore mieux de façon à ce que les fruits de l'indépendance nationale profitent à toutes celles et à tous ceux qui avaient souffert de la guerre et de ses conséquences les misères ? Et si chaque extrait des registres des actes de de naissances y compris le S 12 indiquant un lieu géographique donné datant des années d'avant 1963 se conforme pour sa validation par le cachet rond qui porte le même nom officiellement ce n'est pas encore plus légal et légitime. Essayons d'appeler courageusement les choses par leurs noms en dehors des clivages politiques, des cambinaisons de complots politico-informatiques et des légitimations locales illégales au niveau de l'Algérie profonde. Il y a 5 minutes · Je n'aime plus · 1
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Lues et approuvées en tout honneur et conscience car c'est moi-même la même personne qui persiste et signe les choses qui me tiennent à coeur à défaut de faire autre chose pour peser lourdement sur l'échiquier de façon à dénoncer les abus et les injustices de toutes sortes y compris de celles des censeurs et des menteurs.
Il y a 14 minutes · Modifié · Je n’aime plus · 1
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